dimanche, janvier 13, 2008

De l'utilité sociale

En sixième année, j'ai gagné un prix d'excellence en français. Cela faisait à peine quatre ans que j'avais appris le français, et je trouvais absolument étrange que ce ne soit pas un enfant québécois qui ait gagné ce prix. C'est à ce moment-là que j'ai décidé que j'aiderais les autres à mieux parler français, parce que c'est très important, et que (malgré moi) j'ai une "légère" aversion pour les anglophones (à prononcer à l'anglaise) et je ne veux ABSOLUMENT pas me faire assimiler. (D'ailleurs, cette pensée est étrange, parce que je SUIS une enfant assimilée...).

Mais...il y a cet autre côté de moi qui est inévitablement attirée par la criminologie. D'ailleurs, j'ai une amie qui étudie en Psycho à Concordia, et chaque fois qu'on se voit, on parle inévitablement de crimes, de criminels, de psychologie criminelle, on s' échange des livres théoriques et des romans policiers.

Alors voilà...dans laquelle de ces deux professions serais-je le plus utile : Combattre le crime, ou les fautes d'orthographe?

Bien sûr, étant donné ma grande intelligence, j'ai décidé de faire ma maîtrise sur la littérature policière québécoise, pour combiner les deux, si on veut... Est-ce que je vais m'entêter à devenir prof, ou est-ce qu'un changement de carrière s'annonce prochainement?

Ah...pourquoi suis-je si entêtée!

2 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Ouin, mais on s'entend que faire des fautes d'orthographe est un crime, fait que dans le fond, tu fais les deux...

D'ailleurs, je devrais peut-être donner un peu la fessée à bébé lapin pour tout les «encor» et les «avoire» qu'il a écrit...

13 janvier, 2008 21:29  
Blogger Jessika Blake said...

Oui, tu "devrais" la lui donner, cette fessée!

13 janvier, 2008 21:59  

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