lundi, mars 24, 2008

Midi tue la Paresse

Il est presque midi.

Précisement 11h55 selon l'horloge interne d'Hector. J'en suis encore à la cinquième page de mon travail sur la Multiplicité générique des Belles-Soeurs.

Je n'aime plus les Belles-Soeurs, et j'aurai besoin d'un certain temps avant même de songer à aller voir une représentation.

Allez, au boulot.

Dans trois pages, je serai libérée de mon supplice, et je pourrai aller déguster les douces folies de camé d'Antonin Artaud.