Fouillis intrasemestrielle
Juste avant la semaine de lecture, inévitablement, il y a les examens intrasemestriels, dont la pondération va de 20 à 50% de la note finale des cours. Je déteste profondément les examens intrasemestriels, et chaque fois, je me trouve chanceuse d'avoir l'examen le plus hardi décalé d'une semaine par rapport aux autres examens.
Ce semestre-ci, je n'ai pas de lectures extraordinaires, mais plutôt une analyse de poème que je mets le plus de temps possible à faire. Non pas que je trouve cela extrêmement facile, mais je n'y peux rien, je ne peux m'empêcher de reporter toujours à plus tard, le moment où je fais réellement cette analyse. Souvent, je ne fais que m'asseoir devant mon ordinateur, regarder le poème, regarder le clavier, soupirer et me dire "ah...je ferai ça plus tard".
Dans ma chambre, il y a deux piles de livres, une dizaine de tas de feuilles de révision et des stylos qui jonchent l'entrée. C'en est presque beau.
Vous voyez, maintenant, en ce moment-même, je suis en train de retarder le moment de faire mon analyse de poème. J'en ai pas envie. Vraiment pas. C'est quelque chose que j'ai hérité de mon père : la paresse, qui entre toujours en conflit avec un legs de ma mère : être travaillante. Ohlàlà, c'est compliqué les héritages génétiques!
Je peux donc dire que c'est de la faute de mon père si je n'ai pas envie de faire mon analyse?
Ce semestre-ci, je n'ai pas de lectures extraordinaires, mais plutôt une analyse de poème que je mets le plus de temps possible à faire. Non pas que je trouve cela extrêmement facile, mais je n'y peux rien, je ne peux m'empêcher de reporter toujours à plus tard, le moment où je fais réellement cette analyse. Souvent, je ne fais que m'asseoir devant mon ordinateur, regarder le poème, regarder le clavier, soupirer et me dire "ah...je ferai ça plus tard".
Dans ma chambre, il y a deux piles de livres, une dizaine de tas de feuilles de révision et des stylos qui jonchent l'entrée. C'en est presque beau.
Vous voyez, maintenant, en ce moment-même, je suis en train de retarder le moment de faire mon analyse de poème. J'en ai pas envie. Vraiment pas. C'est quelque chose que j'ai hérité de mon père : la paresse, qui entre toujours en conflit avec un legs de ma mère : être travaillante. Ohlàlà, c'est compliqué les héritages génétiques!
Je peux donc dire que c'est de la faute de mon père si je n'ai pas envie de faire mon analyse?
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