Un mail bien étrange
Charlie m'a écrit.
Je ne l'avais pas revu depuis la mi-mai, je crois, lorsque j'ai rompu avec lui pour "différences inconciliables". Il veut qu'on devienne amis! Ha! Comme si j'avais besoin d'autant d'égoïsme dans ma vie... Il me fera plaisir de le saluer dans les couloirs de l'université, mais pour le reste, qu'il ne se fasse pas d'attentes! C'en est fini pour moi. L'année dans l'Antre (mon appart) a été une grande source d'apprentissage, mais ça n'a pas été facile du tout! Pendant que monsieur se la coulait douce entre films apportés du collège (par moi), séances de physiothérapie, et plaintes sur son dos, il y avait une petite portugaise qui en portait beaucoup trop sur son dos à elle. Je ne me plains pas, ni m'appitoie sur mon sort, mais je crois que les personnes malades, devraient montrer un peu plus de gratitute envers ceux qui les aident. Un merci, un sourire, un petit quelque chose dans les yeux, fait que ceux qui aident les gens malades ont plaisir à le faire. Il ne faut pas faire comme Charlie et en exiger toujours plus : "portugaise, tu travailles trop, je ne te vois jamais, arrête donc de travailler, l'argent pousse sur les arbres, tu n'as qu'à aller le cueuillir. Tu as trop de cours aussi, arrête le collège et laisse tomber tes deux troupes de théâtre, ça ne sert à rien, tu vas finir vendeuse dans un magasin de matériel artistique de toute façon!"
La morale de l'histoire:
En exagérant légèrement ce qui s'est réellement passé, vous produirez d'excellents romans!
Je ne l'avais pas revu depuis la mi-mai, je crois, lorsque j'ai rompu avec lui pour "différences inconciliables". Il veut qu'on devienne amis! Ha! Comme si j'avais besoin d'autant d'égoïsme dans ma vie... Il me fera plaisir de le saluer dans les couloirs de l'université, mais pour le reste, qu'il ne se fasse pas d'attentes! C'en est fini pour moi. L'année dans l'Antre (mon appart) a été une grande source d'apprentissage, mais ça n'a pas été facile du tout! Pendant que monsieur se la coulait douce entre films apportés du collège (par moi), séances de physiothérapie, et plaintes sur son dos, il y avait une petite portugaise qui en portait beaucoup trop sur son dos à elle. Je ne me plains pas, ni m'appitoie sur mon sort, mais je crois que les personnes malades, devraient montrer un peu plus de gratitute envers ceux qui les aident. Un merci, un sourire, un petit quelque chose dans les yeux, fait que ceux qui aident les gens malades ont plaisir à le faire. Il ne faut pas faire comme Charlie et en exiger toujours plus : "portugaise, tu travailles trop, je ne te vois jamais, arrête donc de travailler, l'argent pousse sur les arbres, tu n'as qu'à aller le cueuillir. Tu as trop de cours aussi, arrête le collège et laisse tomber tes deux troupes de théâtre, ça ne sert à rien, tu vas finir vendeuse dans un magasin de matériel artistique de toute façon!"
La morale de l'histoire:
En exagérant légèrement ce qui s'est réellement passé, vous produirez d'excellents romans!
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