samedi, août 30, 2008

Le M.A.L et LeVice

LeVice recroquevillée dans son lit pensait au M.A.L. (Hummm...)

Depuis quelques instants déjà, distraite par de petites pensées vicieuses(!), LeVice avait abandonné sa réfléxion sur le temps (pensées exaltées par sa lecture de La fin de l'Éternité) et plus particulièrement sur la différence magistrale existant entre l'éternité et l'infinité. Ces refléxions la laissaient souvent pantoise d'excitation(!), et la faisaient penser inexorablement au M.A.L. avec qui elle voulait partager ses idées temporelles...entre autres petites choses. (Sourire malicieux.)

LeVice en était à se représenter les yeux et le sourire coquins du M.A.L. lorsqu'elle se rendit compte que le temps (!) s'était écoulé à une vitesse ahurissante, et elle n'en crut pas ses yeux lorsqu'elle vit les chiffres de couleur rouge maléfique de son cadran indiquer 11h03 du soir. LeVice esquissa une moue de déception, puisqu'il était bien trop tard pour appeller le M.A.L.

Prenant son mal(!) en patience, elle décida d'aller gaver sa curiosité poétique, et c'est alors que LeVice (Pandore) se rappella une phrase sidérale que le M.A.L. avait prononcée quelques jours( déjà?) auparavant :
Se sentant déjà plus proche du M.A.L. par le simple fait de lire ses écrits, LeVice soupira de plaisir...et croqua dans un coeur de carotte fraîchement mis à nu de sa lanière orangée.

Demande insolite


Portugaise, dans son magasin de peinture, aide un monsieur qui a entammée depuis longtemps sa septième décennie. Il lui parle de sa pension et de sa nouvelle passion pour la peinture à l'huile, lui qui a été si longtemps architecte, lorsqu'il dit à la petite portugaise ceci :

- Vous savez, mademoiselle, je suis bien nanti, j'ai une très bonne pension, puisque j'ai été architecte depuis si longtemps, et maintenant que je suis arrivé au bout de ma carrière, j'ai beaucoup de temps pour me consacrer à de nouvelles passions...

À ce stade, Portugaise commence à le trouver louche.

- Ah...ah oui? Hum, hum, dit-elle, replaçant les bouteilles de médium pour l'huile.
- Oui, je me sens bien seul dans mon immense maison de Saint-Hillaire.

Portugaise essaye de trouver une bonne excuse pour s'en aller...

- Ah? Oh. C'est dommage, monsieur. Je..., commença-t-elle en entamant un mouvement pour s'en aller.
- Et depuis quelques temps je me cherche une femme...

L'image du "Cri" de Munch apparaît dans l'imagination de la Portugaise.
Elle EST le cri.

- Dites, vous seriez pas intéressée?
- Euh...? Hahaha. Euh...Non. Je suis déjà prise.
-Oh. C'est dommage. Je suis sûr qu'il n'a pas une aussi bonne pension que moi.

Et voilà l'histoire de la (pathétique) première deuxième demande en mariage faite à la Portugaise.

dimanche, août 24, 2008

Un émouvant hommage

dimanche, août 10, 2008

Lettre d'àDieu

Cher Dieu,

C'est fini entre nous : je te déteste.

Et tu sais très bien pourquoi.

Tu comprendras qu'en raison de ma soudaine haine pour toi, je ne viendrai pas te visiter de sitôt. D'ailleurs, je suis très occupée à ramasser le fouillis que tu as laissé chez moi, salaud. Tu me rendras ma joie de vivre, et mon sourire à l'adresse habituelle de nos rencontres. Ne pense même pas à me laisser un mot gentil. Ni même des fleurs! Je ne veux plus rien savoir de toi!!

On se verra un jour. Peut-être.
Portugaise enragée

P.S: En échange des photos compromettantes de nous deux, je te prierais (à genoux...) de prendre soin de Cas'. Tu ne voudrais tout de même pas que le monde entier sache que tu as une relation extraconjugale avec une portugaise chaude, et que la Sainte trinité est plutôt un Saint carré. Prends bien soin de Cas'...or else!